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Les lectures d'Antigone ...

Ardoise magique

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Ben oui, à mon tour, j'ai craqué !

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19 avril 2010

Le retour d'un livre voyageur

pardonnertPardonner, tyrannie ou libération ? a fait un long voyage. Le voici de retour. Ce titre vous avait beaucoup intrigué suite à ma lecture.

Cet essai facile d'accès qui traite de l'utilité ou non du pardon comme outil de psychothérapie, se pose les questions judicieuses suivantes...

"Peut-on tout pardonner et, plus encore, doit-on tout pardonner ?
Pardonner est-il obligatoire pour s'affranchir de l'emprise du passé et se réconcilier avec son histoire ?
Le seul pardon qui soit absolument nécessaire ne serait-il pas le pardon à soi-même, qui est une réhabilitation ?" (extrait de la quatrième de couverture)

Voici ce que vous en avez pensé...

Un livre salutaire pour Sylvie - Saxaoul a porté son attention sur les témoignages - Une oeuvre bien construite et largement documentée pour Leiloona - Un livre qui permet de se réconcilier avec soi pour Nanne - Bel Gazou y a trouvé des éléments qui lui ont parlé et d'autres moins - Karine a trouvé cette lecture très instructive - Pour Kloelle, c'est une oeuvre qui ouvre la réflexion - Tristale y a trouvé quelques échos...(Aifelle et Cathulu n'ont pas laissé de billet mais m'ont souligné l'existence de lectures plus complètes sur le sujet, notamment des textes d'Alice Miller).

Merci à toutes ! Encore une fois, Pardonner est un livre qui va réintégrer ma bibliothèque, riche de vos petits mots inscrits à l'intérieur...et j'adore ça !

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17 avril 2010

La sixième photographie

Je n'ai pas grand chose à dire...sur la sixième photographie de mon blog. Mais comme je réponds à l'invitation de Bel Gazou, d'Annie et d'Aifelle, qui m'ont toutes trois gentiment taguées, je m'y colle.

oeillets

Cette photographie date du 26 juin 2008. Il faisait chaud. J'aperçois à droite une plante qui n'a pas survécu longtemps à ma main verte...hum. Ce post de l'époque, qui me fait sourire par sa grande inutilité, sentait bon l'été !! Comme aujourd'hui, un peu, vous ne trouvez pas ?

Vous pouvez admirer également mes talents question déco colorée... Allez, ces objets ont depuis changé de place, l'arrosoir est posé plus près de mon bureau, le cadre photo a trouvé sa place parmi des livres et mon vase rectangle, vidé de son eau, est rempli de petits objets façon composition. Voilà, vous savez tout, ou presque !

A qui le tour ?

16 avril 2010

Tentation... en DVD

Oui moi aussi...je suis tombée dedans, voilà c'est fait, un peu plus tardivement que vous toutes bien sûr, et par le biais de l'image, pour une fois.

     Twilight_2_Tentation  twilight

En fait, j'ai profité de la sortie DVD du deuxième opus de Twilight Tentation, pour quand même aller y voir dans cette histoire de vampires - ce best seller de l'édition - depuis le temps que j'en entendais parler... J'ai regardé le 1er chapitre de l'adaptation, Fascination, puis le deuxième, et je me suis prise au jeu de l'intrigue, si bien qu'à présent j'attends la suite, c'est malin.

Pour ma part, j'ai préféré, et de loin, les protagonistes féminins de l'histoire, à la psychologie plus complexe que leurs homologues masculins. Le jeu de Robert Pattinson ne m'a pas plu du tout, mais alors pas du tout. J'ai trouvé le personnage de Jacob touchant. Je me suis surprise à me laisser prendre à l'absurde des situations. Alors bien entendu, tout cela est assez adolescent dans l'ensemble, mais bon, ne boudons pas notre plaisir. Me voici moi aussi à présent addict, c'est dit.

Un petit synopsis, au cas-où... Isabella Swan, 17 ans, déménage à Forks, petite ville pluvieuse dans l'Etat de Washington, pour vivre avec son père. Elle s'attend à ce que sa nouvelle vie soit aussi ennuyeuse que la ville elle-même. Or, au lycée, elle est terriblement intriguée par le comportement d'une étrange fratrie, deux filles et trois garçons. Bella tombe follement amoureuse de l'un d'eux, Edward Cullen. Une relation sensuelle et dangereuse commence alors entre les deux jeunes gens : lorsque Isabella comprend que Edward est un vampire, il est déjà trop tard. (source allociné)

Autre chose au sujet des vampires sur ce blog ?

Les Vampires de Londres (T1), Fabrice Colin

Mademoiselle Christina, Mircea Eliade

15 avril 2010

La couleur de l'aube, Yanick Lahens

la_couleur_de_l_aube"Des quatre coins de la ville, des feux montent des ordures empilés et nous brûlent les yeux. A la fin de chaque crépuscule, des pyromanes crucifient la misère de Port-au-Prince pour la faire taire. Nous avançons apaisés, à moitiés aveugles dans une brume mensongère. C'est le moment où la nuit descend sur le visage de Mère. Ce visage unique de qui ne part jamais, de qui reste pour toujours auprès de vous, malgré l'orage sur votre vie, malgré l'incendie qui la ravage. Le visage de Mère est un morceau de terre douce. Sur cette terre nous posons nos pieds nus sans crainte de nous faire mal. A tant vouloir fouiller la nuit, Mère est un bateau qui fend une eau noire. Elle avance mais ne va nulle part. A l'intérieur d'elle le silence est aussi profond que dans le grand ventre d'eau de la mer. Aurait-elle perdu le nord ? Elle a si peur de chavirer. Oui, si peur. Par moments la lune déverse de la chaux vive et, soulagée, elle scrute le monde dans cette blanche lumière. Et elle met le cap à nouveau vers l'attente de son fils."

Dans une maison de Port-au-Prince, on s'inquiète de l'absence du plus jeune frère de la famille, Fignolé. Quelque chose dans l'air, une menace, règne et nourrit l'angoisse. Angélique, infirmière sage et soumise, et sa soeur, Joyeuse, sensuelle et révoltée, enquêtent et parcourent la ville, tout en rêvant secrètement d'une vie meilleure qui donnerait sa part belle à l'amour et à l'apaisement...

Grâce au collectif édité par le Serpent à Plumes en faveur des sinistrés d'Haïti, j'ai découvert la plume de Yanick Lahens. Je voulais en lire plus, voici pourquoi j'ai ouvert ce livre-ci.
Mes impressions de lecture sont très complexes. Dans l'ensemble, j'ai beaucoup aimé ce roman, que je vous recommande. Yanick Lahens a une écriture extraordinaire, forte et sensuelle, terriblement évocatrice. Que de paragraphes à citer telles de petites perles... !! Par ailleurs, ce récit, à la texture apocalyptique, semble annoncer des terreurs à venir, politiques et physiques, et lorsque l'on songe aux évènements que cette île vient d'endurer, cela donne rétrospectivement froid dans le dos. Ensuite, je me suis attachée aux personnages à tel point que cet écrit m'a semblé trop court. Angélique et Joyeuse prennent la parole tour à tour, et l'on se prend à admirer ces femmes de caractère, sans hommes, qui luttent tout simplement pour vivre.
Mon petit bémol vient de "l'économie de moyens" que l'éditeur évoque en quatrième de couverture. Il m'a fallu de nombreuses pages avant de repérer les protagonistes, comprendre qui avait la parole, qui était qui, et cela me gêne toujours de devoir ainsi avancer dans le flou en lecture. Sans cela, ce titre aurait été sans conteste, un grand coup de coeur !!
Mais je chipote je chipote...
Car cela dit, je suis heureuse d'avoir ouvert ce roman, que je reprendrais bien à présent pour le relire une seconde fois, ce que je ne fais jamais d'ordinaire. Je suis heureuse de cette rencontre avec l'écriture de Yanick Lahens, que je vais renouveler dès que possible en lisant son premier roman Dans la maison du Père.
En somme, une lecture découverte qui m'ouvre quelques perspectives. Voilà qui est bien jubilatoire !

bouton3 Note de lecture : 4.5/5 - 20 € - Sabine Wespieser éditeur - Nov 2008 -

Biblioth_que_et_LALPour info, le blogoclub aura pour thème les auteurs haïtiens le 1er juillet prochain - Ce titre a reçu le prix RFO 2009 - Vous trouverez en cliquant sur le lien ci-contre la fiche du livre sur le site éditeur avec un extrait pdf à télécharger -

14 avril 2010

Comme

commeCome, dit l'Anglais à l'Anglais, et l'Anglais vient.
Côme, dit le chef de gare, et le voyageur qui vient dans cette ville descend du train sa valise à la main.
Come, dit l'autre, et il mange.
Comme, je dis comme et tout se métamorphose, le marbre en eau, le ciel en orange, le vin en plaine, le fil en six, le coeur en peine, la peur en seine.
Mais si l'Anglais dit as, c'est à son tour de voir le monde changer de forme à sa convenance
Et moi je ne vois plus qu'un signe unique sur une carte :
L'as de coeur, si c'est en février,
L'as de carreau et l'as de trèfle, misère en Flandre,
L'as de pique aux mains des aventuriers.
Et si cela me plaît à moi de vous dire machin,
Pot à eau, mousseline et potiron.
Que l'Anglais dise machin,
Que machin dise le chef de gare,
Machin dise l'autre,
Et moi aussi.
Machin.
Et même machin chose.
Il est vrai que vous vous en foutez
Que vous ne comprenez pas la raison de ce poème.
Moi non plus d'ailleurs.
Poème, je vous demande un peu ?
Poème ? je vous demande un peu de confiture,
Encore un peu de gigot,
Encore un petit verre de vin
Pour nous mettre en train...
Poème, je ne vous demande pas l'heure qu'il est.
Poème, je ne vous demande pas si votre beau-père est poilu comme un sapeur.
Poème, je vous demande un peu...?

Poème, je ne vous demande pas l'aumône,
Je vous la fais.
Poème, je ne vous demande pas l'heure qu'il est,
Je vous la donne.
Poème, je ne vous demande pas si vous allez bien,
Cela se devine.
Poème, poème, je vous demande un peu...
Je vous demande un peu d'or pour être heureux avec celle que j'aime.

Robert Desnos, in Fortunes

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13 avril 2010

Corinne Bailey Rae

Découvrez la playlist Corinne Bailey Rae avec Corinne Bailey Rae

Une voix, soul, à découvrir...mon son du moment. Son deuxième album, The Sea, vient tout juste de sortir.

Son site : http://www.corinnebaileyrae.net/

Une info trouvée sur le blog de Muze (http://blog.muze.fr/petites-news-culturelles/), car pendant que la revue fait une pause, les news continuent... Bonne écoute !

12 avril 2010

Les lieux sombres, Gillian Flynn

les_lieux_sombres"La plupart des partisans de Ben sont des femmes. Oreilles en chou-fleur et dents longues, permanentes et tailleur-pantalon, lèvres serrées et crucifix autour du cou. De temps à autre, elles se présentent sur le pas de ma porte, l'oeil trop brillant pour être honnête. Elles m'expliquent que mon témoignage était faux, qu'on m'a induite en erreur, contrainte, qu'on m'a convaincue d'un mensonge quand j'ai juré, à l'âge de sept ans, que c'était mon frère qui avait commis les meurtres. Souvent, elles me hurlent dessus, et elles ont toujours plus de salive qu'il n'en faut. Il y en a plusieurs qui m'ont carrément giflée. Ce qui les rend encore moins convaincantes : une mégère hystérique au visage écarlate se discrédite très facilement, or je cherche toujours une bonne raison de les discréditer.
Si elles avaient été gentilles avec moi, j'aurais presque pu me faire avoir.
"Non, je ne parle pas à Ben. Si c'est de ça qu'il s'agit, je ne suis pas intéressée.
- Non, non, non, ce n'est pas ça. Il vous suffirait de venir à...cette espèce de convention, pour ainsi dire, et nous laisser vous poser quelques questions. Vous ne pensez vraiment pas à cette soirée-là ?"
Zonedombre.
"Non."

Libby Day a sept ans lorsque sa famille, mère et soeurs, est sauvagement massacrée dans la ferme familiale. Elle réchappe de justesse au drame en se sauvant, y perd quelques doigts de pied et de main, mais surtout la chaleur d'une famille et la chance de croire un jour en elle. En effet, persuadée d'avoir entendu son frère aîné ce soir-là hurler dans la maison, elle le désigne comme le meurtrier et perd ainsi le dernier des siens.
Vingt cinq ans plus tard, c'est une jeune femme qui survit grâce aux dons et à de menus larcins que nous retrouvons. A court d'argent, elle accepte à contre-coeur de participer à une réunion spéciale, organisée par un comité de fans obnubilés par les meurtres mystérieux. On lui demandera de reprendre l'enquête, de chercher à nouveau la vérité. De guerre lasse, attirée par l'argent facile, elle accepte.
Finalement, reprendre ainsi le film de cette nuit-là, résoudre une fois pour toute l'énigme des zones d'ombre du passé, lui permettra peu à peu de reprendre le fil de sa vie...à elle, enfin.

Voici un thriller qui tient son lecteur en haleine, c'est certain, malgré le volume imposant de ses pages. L'écriture est superbe, les doutes sont entretenus savamment jusqu'à la fin, et les personnages attachants. Comment résister aux souvenirs de cette marmaille enfantine, et féminine, que l'on sait devoir s'éteindre quelques heures plus tard ? Comment ne pas compatir, et ne pas s'énerver en même temps, de l'immobilisme et du découragement de la mère, Patty, engluée de fatigue et de soucis ? Beaucoup de talent, donc, dans ce roman et comme il est souligné en quatrième de couverture, pas "de clichés", ni de "manichéisme". Cependant, pour la lectrice que je suis, peu encline à nager trop longtemps dans l'horreur, peut-être beaucoup trop de misère, trop de désolation. J'ai retrouvé quelques impressions ressenties à ma lecture du Château de verre. Parfois, c'est ainsi, mon coeur de maman prend toute la place, et se serre. Et pourtant, il est honnête et émouvant, ce tableau d'une amérique de dernière zone, terriblement net et humain ; il prend en compte la complexité de nos comportements.
Un moment de lecture, en définitive, rempli d'émotions contradictoires, de plaisir et de retenue.

bouton3 Note de lecture : 4/5 - Edititions Sonatine - 22€ - Février 2010

Un grand merci à Solène ! - Amanda pinaille mais l'a lu également avec avidité - Cathulu n'avait pas lu de roman aussi palpitant depuis longtemps - Tous les autres avis sont regroupés chez Bob !

11 avril 2010

Le printemps aussi fait fleurir les livres

Je ne savais pas si j'allais m'y rendre...et puis finalement, le soleil aidant, hop ce matin, la famille a pris la route pour répondre à l'appel du Printemps du livre. J'y avais passé la journée, l'année dernière, en compagnie d'Anne, et ce fut un chouette moment dont je garde un souvenir excellent, malgré la grêle qui nous était soudain tombée dessus en sortie de salon.
Nous y allions donc cette fois-ci en famille, pour quelques heures à peine, sans grande ambition, mis à part celle de ne surtout pas regretter l'impasse.
Et je suis heureuse des quelques rencontres faites à l'occasion...

Mes_images23

Premièrement, petit arrêt au stand des éditions Gulf Stream que toute la famille adore. Editeur Nantais d'images, de livres pour enfants et adolescents, ils publient des albums de qualité (http://www.gulfstream.fr/) sur des thèmes chers à mes petites têtes blondes. Petit dernier n'a pas su résister aux Bêtes qui crachent, qui collent et qui croquent... L'année dernière, c'est Luli dans le désert blanc qui les avait enchanté. Un superbe poster dans les mains, j'ai rassuré la personne qui tenait le stand, oui oui je suis votre blog...http://gulfstreamediteur.blogspot.com...promis je laisserai quelques com'. (Vous les retrouverez pour quelques dates en avril, mai et juin).

Ensuite, un sourire à Caroline Vermalle, dont j'avais beaucoup aimé le roman, comme beaucoup d'entre vous... Une conversation intéressante, agréable, et l'espoir qu'un deuxième opus voit le jour très bientôt ! (http://carolinevermalle.blogspot.com/) Tandis que j'écris, elle doit encore y être, son joli chapeau sur la tête. Petit dernier lui a fait son regard bleu qui tue...

Maud Lethielleux était là aussi (http://maudetlesmots.blogspot.com/), bien souvent en grande conversation, ses livres écarlates devant elle, en très bonne position juste à côté de Marie Le Gall. N'oubliez pas de lire D'où je suis je vois la lune, que j'ai pour ma part peut-être encore plus aimé que son premier roman. Ravie de cette deuxième rencontre Maud !

J'ai acheté deux romans. Premièrement, La Peine du Menuisier de Marie Le Gall qui est par ailleurs une personne charmante et qui m'a parlé à l'occasion de son désir de reprendre plus pleinement l'écriture. J'ai hâte de lire ce livre, plébiscité par vous. Elle m'a donné quelques clés d'un second roman en préparation, comme l'avait fait Caroline Vermalle plus haut, mais chut je n'en dirai pas plus...
Deuxièmement, et comme j'avais cette année pour volonté de préparer sérieusement ma petite excursion, j'ai craqué pour le second roman d'un auteur inconnu (pour le moment), Jean-Batiste Destremau. Si par hasard m'a plu par son thème, le road movie d'une adolescente, et la beauté de sa couverture. J'avais repéré ce titre sur le blog de l'auteur http://jeanbaptistedestremau.blogspot.com/...et j'espère que ma lecture sera aussi agréable que ma rencontre brève avec l'auteur, fort sympathique.

Enfin, tandis que je papotais et me surprenais à distribuer mon adresse de blog avec assurance (je me lâche !)... M Antigone a eu une conversation/dédicace avec Lorraine Fouchet, auteure de Le Bateau du matin. Elle lui a dessiné un joli phare, un bateau stylisé, et l'a invité sur son île...hum. Il était ravi. Tu m'étonnes.

10 avril 2010

Jeu concours !!

derri_re...ou comment gagner en quelques recherches et questions le troisième roman d'un auteur/blogueur dont j'apprécie les écrits et la personnalité.

A vous de jouer donc en cliquant sur le lien suivant Gagner Derrière toute chose exquise. Vous parviendrez sur le site de Sébastien Fritsch qui vous expliquera en détails la marche à suivre.

Vous avez jusqu'au 25 avril minuit.

J'ai déjà lu ce roman à l'intrigue policière étonnante qui ne découvre ses cadavres que dans une pirouette romanesque intrigante. (Ma lecture)

Bonne chance !!

9 avril 2010

Away We Go ...en DVD

Verona en est à son sixième mois de grossesse alors que brutalement, elle et Burt apprennent que les parents de ce dernier partent pour la Belgique, bien loin d'eux, les isolant. C'est la panique. Plus rien ne les retient alors dans ce coin de province où ils habitent. Leurs métiers respectifs leur permettent de bouger, de vivre n'importe où, alors c'est décidé ils vont partir en quête d'une nouvelle famille, d'un nouveau lieu. Ils élaborent un plan, un parcours de voyage qui sillonne l'Amérique et les emmènera finalement jusqu'au Canada...

awaywego

Après Les Noces rebelles, Sam Mendes signe ici un film tout en drôlerie, un road movie sarcastique qui cache sous une certaine légèreté bien des questionnements de fond. Burt et Verona, en partant à la rencontre des autres, vont en apprendre plus sur eux-même qu'ils ne l'auraient pensé au tout départ, se faire confiance et pouvoir accueillir sans complexe leur futur bébé.
Un bien agréable moment de cinéma, sans prétention.

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Les lectures d'Antigone ...
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  • "Tu vois, moi, j'ai des passions, les livres, ça me sauve... J'ai traversé mes temps morts avec des gens qui ont oeuvré pour ça, ceux qui ont écrit... J'ai le livre en main et c'est du carburant pour ma vie à moi..." Jeanne Benameur
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