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Les lectures d'Antigone ...
Ardoise magique

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/antigone.lectures

Ben oui, à mon tour, j'ai craqué !

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3 avril 2008

Demain...

...je pars pour ici ESCALE_DU_LIVRE (cliquer sur l'affiche pour connaître la programmation).

Je vous raconterai. A dimanche !

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25 mars 2008

Page 94...

...du numéro d'avril de MuzeMUZE, il y a ça :

(petit texte déjà publié sur ce blog)

Point presse

Mon regard.
Planté dans le sien.
Ses yeux qui s’affolent.
Notre conversation, anodine.
Gestes du quotidien.

Elle vient, presque tous les jours, parfois seule, parfois accompagnée de ses deux enfants. Elle achète le journal. J’aime faire tinter les pièces de sa monnaie dans sa main tendue, contempler son visage paisible. J’aime la retenir, pour quelques mots, à peine une conversation. Je déteste quand un fâcheux m’empêche de la servir, quand un autre que moi lui rend son sourire.

Elle vient, presque tous les jours, et je me suis habitué à sa présence, à ce quelque chose qui traverse, en filigrane, la texture de nos phrases. Hier, il pleuvait. Elle était là, avec une amie. Elles discutaient dans la file d’attente. Je voyais ses mains s’agiter au rythme de ses lèvres. Le point presse était bondé, les badauds étant venus chercher refuge entre nos murs. Leurs manteaux dégoulinaient sur les couvertures glacées des magazines TV.

Elle vient, presque tous les jours. Hier, j’ai tenu son regard, un peu plus longtemps que d’habitude. Elle a tenu le mien, tout en souriant à son amie. J’ai entendu tous les mots qui sortaient de sa bouche : « Demain, nous partons. Le camion sera plein. Les enfants sont ravis de déménager. » Je lui ai rendu son journal, affreusement froissé, mon numéro de téléphone inscrit en bas de la première page. Elle n’avait rien vu. J’ai regardé son imperméable disparaître au coin de la rue.

(Rubrique Post-scriptum - Ecrits et chuchotements...)

Le texte ci-dessus a donc été publié dans la rubrique "lecteurs" de cette revue que j'affectionne particulièrement. Quelle n'a pas été ma surprise en ouvrant mon numéro d'avril ce soir, en rentrant du travail !! Je l'avais reçu ce matin au courrier. Je savais depuis octobre ou novembre dernier que mon texte était retenu mais je dois vous avouer que je n'y croyais plus... Ce n'est pas grand chose, mais je suis plutôt contente !!

Pour être publié(e) dans Muze : adressez vos courriers à Muze/Rubrique Courrier,3-5, rue Bayard/75008 Paris ou adressez un courrier électronique à l'adresse suivante : muze@bayard-presse.com

19 mars 2008

Alors que vient de sortir...

Rendez_vous_a_Brick_Lane

...Rendez-vous à Brick Lane, un film de Sarah Gravon (film que je n'ai pas encore eu l'occasion de voir mais qui est inscrit sur mes tablettes), se présente pour moi l'occasion de parler du magnifique roman dont il est inspiré, Sept mers et Treize rivières de Monica Ali, dont je vous recommande particulièrement la lecture, et que j'ai lu lors de sa publication en france en 2004 (Le titre original en était d'ailleurs Brick Lane, tout simplement. Je préfère personnellement le titre français, plus mystérieux.)

sept_mersL'histoire : "En 1967, dans un village de l'est du Pakistan, une femme croit donner le jour à une enfant mort-née. Mais Nazneen survit et devient "celle qui a été livrée à son Destin". Un destin qui l'attend à Londres, auprès de l'époux choisi par son père : Chanu, la quarantaine bedonnante, ennuyeuse et pontifiante, des rêves en pagaille, sans les moyens de ses ambitions.
Isolée dans ce pays dont elle ne parle pas la langue, Nazneen n'a d'autre choix que se soumettre. Dans la cité de Brick Lane où règnent racisme ordinaire, fondamentalisme rampant et trafics en tous genres, elle découvrira pourtant la solidarité, la débrouillardise et l'amitié.
Tiraillée entre traditions ancestrales et espoirs insensés, Nazneen va peu à peu prendre le contrôle de sa vie, jusqu'à franchir le pire des interdits... Et comprendre que s'octroyer le droit au bonheur a un prix."
(extrait de la quatrième de couverture)

J'ai beaucoup aimé l'ambiance de ce roman, le huis clos de cet appartement londonien dans lequel Nazneen peu à peu s'émancipe, le choc des cultures, la lenteur et la torpeur des tâches quotidiennes, cette porte de sortie que lui procure enfin le travail, une porte de sortie vers l'amour et le monde extérieur. Un récit à la fois grave et léger, féminin...
[Ce livre est également disponible en format poche, chez 10/18.]

Me reste à voir la version filmée. Si vous l'avez vu, votre avis m'intéresse !

La bande-annonce...


Rendez-vous à Brick Lane

9 mars 2008

Concours de Nouvelles

Hier matin, je suis allée à une remise de prix...à Mortagne sur Sèvre, petite commune en frontière vendéenne. mortagne

marques_pagesLa-bas, la bibliothèque "Le marque page" organise depuis quelques années déjà un concours de nouvelles.
Ayant trouvé l'annonce dans un journal local, j'avais décidé cette année d'y participer. Tout est bon pour trouver de l'inspiration et s'entraîner !!

Le thème était "Cela n'arrivera jamais" (titre du dernier livre d'Eric Pessan, président du Jury).

Je ne vais pas garder le suspens plus longtemps, je n'ai pas gagné !!! Je dois avouer que je suis un peu déçue parce que j'y croyais presque un petit peu... Ah là là, cet égo mal placé. Mais rien de grave, l'accueil était chaleureux et simple, et nous avons tout de même eu un petit cadeau pour le déplacement...

collage45

...une dédicace de Eric Pessan sur un petit livret/souvenir de félicitations !!
"Il n'y a pas de plus grande récompense pour un poète, que d'écrire un poème. DYLAN THOMAS"

J'ai, pour la bonne cause, commencé son roman, qui me demande un effort de lecture important. Je vais essayer de le terminer tout de même, car d'autres lectures enthousiasmantes m'attendent !!pessan

En cliquant [ici], vous pourrez lire les "nouvelles gagnantes" et, peut-être bientôt, voir les photos prises à l'occasion de cet évènement.
Attention...je suis sans doute dessus !! Etant peu photogénique, je m'inquiète un peu du résultat.

Je mettrai en ligne très très bientôt, voire juste après, ma nouvelle, nommée "Justine".

6 mars 2008

Jean-Loup Trassard

Tout à l'heure j'ai assisté à la lecture de quelques extraits des oeuvres de Jean-Loup Trassard...par l'auteur lui même, à la Maison Gueffier (La Roche sur Yon).
J'aime particulièrement ses photographies que je ne connaissais pas auparavant. Ici, il s'agit de la mise en scène d'objets ayant autrefois appartenus à sa mère...

      trassard

Ecrivain et photographe de l'agriculture, Trassard publie depuis 1961 chez Gallimard des textes courts, des récits, et aux éditions Le temps qu'il fait, des photographies et des textes.

              trassard2         trassard3

Pour voir le site sur lequel j'ai puisé ces quelques très belles photographies, pour lire le très beau texte qui les accompagne, et afin d'en voir éventuellement d'autres cliquez ici.

Sa fiche auteur sur le site des Editions du Temps qu'il fait.

Exposition de photographies du 5 au 29 mars à la Maison Gueffier (La Roche sur Yon).

Bonne soirée à tous !!

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28 janvier 2008

Jean Anouilh, la fin du purgatoire ?

Tel est le titre de l'article que Le magazine des Livres consacre à l'auteur d'Antigone, ce mois-ci.

MDL8

J'aime particulièrement cet auteur de Théâtre, qui n'a pas écrit que la pièce "Antigone" ou "Le Voyageur sans bagages", beaucoup étudiés. Considéré comme un auteur de Boulevard, il a souvent été méprisé. Il n'est sans doute aujourd'hui pas assez joué, et trop méconnu. Cet article atteste-t-il d'un retour en grace qui coïnciderait avec la sortie de ses oeuvres en Pléiade ? Je le souhaite car j'ai pour ma part souvent beaucoup ri, et été émue, en lisant ses pièces, et son théâtre recelle des trésors de répliques, oubliées.

Il a classé de son vivant ses pièces par thèmes : quatre pièces grinçantes, quatre pièces noires, quatre pièces roses, quatre pièces brillantes, trois pièces costumées. On ne trouve aujourd'hui que quelques titres disponibles et encore édités, chez Folio ou dans les éditions de la Table Ronde. Il faut fouiller les étals des bouquinistes pour avoir le bonheur de trouver ses autres pièces...

"La Vie de Jean Anouilh (1910-1987) se raconte exactement comme celle de grands dramaturges comme Molière. On commence à narrer l'enfance puis vient le succès et tout à coup, il ne s'agit plus de l'homme mais de son oeuvre : on enfile les titres en racontant ce qu'ils contiennent et le succès ou l'insuccès qui leur revient." (accroche de l'article du Magazine des Livres - Janvier/février 2008)

Son théâtre vient de sortir dans la bibliothèque de la Pléiade, en deux tomes.

      

Et un extrait d'Antigone, pour le plaisir...

"Comprendre... Vous n'avez que ce mot-là dans la bouche, tous,

depuis que je suis toute petite. Il fallait comprendre qu'on ne

peut pas toucher à l'eau, à la belle eau fuyante et froide

parce que cela tache les robes. Il fallait comprendre qu'on ne

doit pas manger tout à la fois, donner tout ce qu'on a dans ses

poches au mendiant qu'on rencontre, courir, courir dans le vent

jusqu'à ce qu'on tombe par terre et boire quand on a chaud et

se baigner quand il est trop tôt ou trop tard, mais pas juste quand

on a envie ! Comprendre. Toujours comprendre. Moi, je ne veux pas

comprendre. Je comprendrai quand je serai vieille. (Elle achève

doucement.) Si je deviens vieille. Pas maintenant."

20 janvier 2008

Pitiés, Philippe Raulet

Hier au soir, je suis allée ici, au Grand R, à une soirée "hommage" à Philippe Raulet, décédé le 22 mai 2006.

      

(fiche auteur sur le site Verticales)

La soirée a commencé avec une conversation entre Dominique Bondu (un des fondateurs du site remue.net) et Gérard Potier (acteur et conteur né en Vendée), au sujet de la personnalité de cet auteur, que je ne connaissais pas, et dont la vie tournait autour de l'écriture, et de la liberté de l'écriture (beaucoup d'éléments à retenir et de conseils à suivre...).

Puis, elle s'est enchaînée avec la lecture complète de Pitiés, édité aux éditions Verticales en 2003, lecture effectuée par quatre acteurs/lecteurs.

Début du roman : "Une femme rêvait de voir la mer, pas n'importe où, et c'est le drame, ou presque, on va comprendre

elle est mariée, ils manquent d'argent, ça se paie cher, pitié, c'est déjà commencé

à cette heure-ci on ne trouvera chez eux que l'homme, prénom Louis, assis en bout de table et immobile - le temps peut s'égoutter - on croit voir une image

cuisine peinte en jaune, murs et plafond que barre un long néon, mais éteint pour l'instant, l'après-midi débute à peine..."

L'histoire : Une famille, modeste, deux enfants adolescents, un désir de voyage, une affiche sur le frigo, un désir de mer de la mère, de la désespérance, du désir d'ailleurs, de l'amour, de l'espoir...

Je vous l'avoue d'emblée, je ne suis pas restée jusqu'à la fin de la lecture, pourtant elle était de qualité et le texte de Pitiés est intéressant (je pense que je vais le lire), très théâtral finalement...mais la soirée avait commencé à 18h et se terminait à 23h30... Malgré les pauses, c'était un peu long pour moi, et je m'étais levée bien tôt (les enfants !) et la journée avait été fatigante (euh, encore les enfants...!).

En bref, voici un auteur, peu connu, dont l'écriture est à découvrir !

19 janvier 2008

Quand Antigone inspire...

...je ne peux faire autrement que de vous en parler.

JEANNE_MOREAUExtrait d'un article de Ouest-France du 18/01/2008 :

Enfant, [Jeanne Moreau], parisienne de naissance se voyait bien faire des ronds de jambe, comme sa mère, danseuse aux Folies Bergères qui a privilégié sa carrière. Son oncle lui paie des cours de théâtre, à l'insu de son père, un restaurateur « élevé à la campagne par des gens du XIXe siècle ».

À cette époque, « les acteurs étaient considérés comme des sorciers, des magiciens. Les jeunes filles ne lisaient pas les journaux ». Et avaient encore moins le droit de traîner dans les salles obscures ou les théâtres.

Antigone, de Jean Anouilh, vue en douce, est une révélation : « Cette jeune fille qui refuse l'autorité politique, ça m'a bouleversée. Je ne me voyais que dans des héroïnes dramatiques, ce qui me plaisait, c'était la passion. »

Le festival Premiers Plans d'Angers fête, du 18 au 27 janvier 2008, les 60 ans de carrière de la comédienne, plus de 130 films et presque autant de pièces de théâtre.

(pour voir l'article en entier cliquer sur la première phrase de l'article)

9 décembre 2007

Le journal de Virginia Woolf (Arnaud Cathrine et Geneviève Brisac)

Le jeudi 6 décembre, à la Maison Gueffier (La Roche sur Yon), vous le savez, j'ai eu la chance d'assister à deux lectures : premièrement celle de fragments du "Journal de Virginia Woolf" par Geneviève Brisac et Arnaud Cathrine, et ensuite celle d'extraits de "V. W." par Geneviève Brisac (livre écrit en collaboration avec Agnes Desarthe).

                  Journal d'un écrivain         V.W. ou Le mélange des genres

Il ressort de ce moment, passé en compagnie de la mémoire de Virginia Woolf, le portrait d'une femme de génie, souvent en proie au doute, humaine, dense et légère, qui passe de futiles mondanités aux interrogations littéraires les plus sérieuses. Je ne peux vous résumer ici la totalité des propos échangés. J'ai aimé l'évocation de ses doutes, son amour pour l'objet livre, sa peur de voir son journal ou ses lettres happer son flux fictionnel. J'ai aimé sa manière de décrire le style, comme une vague, comme un rythme qui prend le pas sur les mots. J'ai aimé son ironie et son recul, sa féminité, sa sincérité, sa force de travail.

Geneviève Brisac et Arnaud Cathrine ont été des médiateurs parfaits, intelligents et sobres. Un peu avant de me rendre à cette lecture, je me suis rendue compte que j'avais acheté ce journal, un été, il y a quelques temps, qu'il trônait dans ma bibliothèque, et que je ne l'avais jamais lu...

    Arnaud Cathrine                     

J'ai lu La Disparition de Richard Taylor et Les Vies de Luka      Geneviève Brisac (dont je n'ai encore rien lu, mais cela ne saurait tarder !)

Biographie : "Romancière et essayiste, Virginia Woolf est née à Londres le 25 Janvier 1882. Fille d'un des titans malheureux du victorianisme - Sir Leslie Stephen -, elle côtoie dès l'enfance la fleur de l'intelligentsia mondiale et devient l'égérie redoutée du groupe de Bloomsbury. En 1912, Virginia épouse Léonard Woolf et, en 1917, il fondent une maison d'édition, la Hogarth Press, et font découvrir Katherine Mansfield, TS Eliot, Freud, des romanciers français et russes... [...] Victime de dépression chronique, elle met fin à ses jours le 28 mars 1941. Elle laisse [outre ses oeuvres] un nombre considérable d'essais inédits, une correspondance, un Journal, qui paraît après sa mort à l'initiative de son mari."

Léonard Woolf : "J'ai lu attentivement les vingt six volumes du Journal de Virginia Woolf et j'en ai extrait, pour ce volume, tout ce qui relève de son travail d'écrivain. J'y ai incorporé en outre trois autres genres d'extraits : d'abord les passages dans lesquels elle se sert très nettement de son Journal comme d'un instrument lui permettant d'exercer ou de mettre à l'épreuve l'art d'écrire : ensuite des passages qui, sans avoir trait directement ou indirectement à son travail, m'ont paru s'imposer dans ce choix parce qu'ils donnent au lecteur une idée de l'impression immédiate qu'exerçaient sur son esprit telles scènes ou telles personnes ; enfin un certain nombre de passages dans lesquels elle commente les livres qu'elle est en train d'écrire."

Un extrait : "Rodmell, lendemain de Noël

Je trouve qu'une quinzaine de solitude  est incroyablement reposante, et que c'est un luxe presque impossible à s'offrir. Nous avons impitoyablement repoussé toutes visites. "Cette fois-ci, nous serons seuls !" avions nous décidé, et réellement, je commence à y croire. Et puis Annie est très compréhensive. Mon pain cuit bien. Tout serait plutôt enivrant, simple, coulant, efficace, n'étaient mes tâtonnements autour des Vagues. Après beaucoup d'efforts, j'écris deux pages totalement ineptes. J'écris des variantes pour chaque phrase ; je fais des compromis, je lance des balles perdues, je tâtonne, et mon manuscrit finit par ressembler à un rêve de fou. Puis je me dis qu'une seconde lecture me donnera de l'inspiration et je rends au texte un peu de son sens commun. Mais cela ne me satisfait pas. Je trouve qu'il y manque quelque chose. je ne fais aucune concession. Je me concentre sur le noyau. Cela m'est égal si tout est raturé. Et je crois qu'il y a quelque chose là. Je suis tentée maintenant par de plus grandes audaces : par Londres ; les conversations. Une voie frayée plus impitoyablement. S'il n'en sort rien, j'aurai du moins envisagé toutes les possibilités. Mais j'aurais voulu y prendre plus de plaisir. Cela ne me trotte pas dans la tête comme La promenade au phare ou Orlando."

Extraits de l'édition du "Journal d'un écrivain", chez 10/18.

8 décembre 2007

Julia Margaret Cameron (1815-1979)

Dans le cadre de la semaine sur Virginia Woolf, organisée par le Grand R, j'ai assistée à une lecture d'un choix de pages de son journal, jeudi dernier (voir ici). Dans l'attente d'un compte-rendu, qui se fait attendre, voici deux photographies semblables à celles de l'exposition qui se tient en ce moment à la maison Gueffier (La Roche sur Yon). (Les photographies présentées dans ce lieu ne sont pas disponibles sur le net).

    cameron_julia_jackson_1_ 

Expostion du 5 au 22 décembre 2007

Ce n'est qu'à 48 ans, alors que sa fille lui offre un appareil photo pour son anniversaire que Julia Cameron démarre sa carrière artistique. Elle maîtrise rapidement l'art de la photographie alors naissante et en devient l'une des pionnières, avec sa capacité à utiliser des lumières tamisées et des temps de pose très longs. Elle reste connue pour ses portraits d'hommes célèbres et de femmes romantiques. Son modèle préféré est sa nièce, Julia Jackson, la mère de Virginia Woolf (portraits ci-dessus). La ressemblance est effectivement frappante.

Pour plus de renseignements cliquer ici

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