Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Les lectures d'Antigone ...
Ardoise magique

Ce blog a dorénavant une page Facebook...
https://www.facebook.com
/antigone.lectures

Ben oui, à mon tour, j'ai craqué !

Newsletter
90 abonnés
29 juin 2016

Ni terre ni mer, Anne Von Canal

niterrenimer"Maintenant, tout ne dépendait plus que de lui, de son jeu, de son art, de sa volonté."

A Stockholm le jeune Laurits rêve de devenir pianiste. Il lui suffit pour cela de réussir le concours d'entrée au Conservatoire. Mais il redoute le refus de son père, très autoritaire, qui espère que son fils suivra ses traces en embrassant une carrière médicale. Contre toute attente, son père accepte l'idée du concours d'entrée, à la condition que son fils s'inscrive à l'université en cas d'échec. Laurits est ravi, mais il échoue effectivement à son audition. Devenu gynécologue, marié à Silja, il mène une vie de famille tranquille, bien loin de la musique et des claviers auquels il ne touche plus. Devenu père à son tour, il lui semble même que la vie s'est apaisée. Ses parents sont devenus plus doux, semblent heureux de s'occuper de Liis. Cependant, lors d'un repas familial, un secret est révélé qui va chambouler la vie du jeune homme... et le propulser quelques années plus tard, en deux/trois terribles ricochets, sur un paquebot de croisière en costume de pianiste pour touristes blasés.

Ce livre est aussi beau que sa couverture. Il commence comme un journal de bord, celui d'un pianiste de croisière, puis nous emmène dans l'enfance d'un petit garçon riche mais solitaire à Stockholm. Ce roman parle de musique, bien sûr, mais également de la mer qui prend des vies, et permet aussi de fuir, d'oublier, de se recréer. Avec Ni terre ni mer, nous voyageons entre Stockholm et l'Estonie, puis sur l'eau, sur cette ville flottante qui permet de se sentir ni sur terre ni en mer, loin de tout, dans un temps suspendu. Il y a l'écriture de Anne Von Canal, la traduction de l'allemand d'Isabelle Liber, une ambiance douce et cruelle. Ce premier roman est un très gros coup de coeur ! Je suis heureuse de pouvoir vous l'offrir prochainement... Je vous donne rendez-vous le 1er juillet sur ce blog pour plus de détails.

Editions Slaktine - 18 € - Mars 2016

Je suis tombée sous le charme du logo, et de l'intention de cette toute nouvelle branche éditoriale du groupe Slaktine, créée en mars 2016... "Slatkine & Cie explore tous les champs éditoriaux mais choisit de ne publier qu’une dizaine de titres par an, pour le plaisir qu’ils donnent, le temps qu’ils dérobent et la douceur qu’ils prodiguent. La douceur est la traduction du mot russe Slatkine. C’est notre raison d’éditer." [clic ici]

SLAKTINE

Publicité
27 juin 2016

Counting stars

26 juin 2016

A l'orée du verger, Tracy Chevalier

aloreeduverger

 "Je vais vous raconter ce que j'ai fait, poursuivait Sadie, s'adressant au groupe de femmes. Il nous restait simplement quelques pommes de table, et je les ai toutes mises dans une tarte !"

Au début du XIX ème siècle, aux Etats-Unis, les Goodenough se sont arrêtés sur cette terre boueuse de l'Ohio parce qu'il leur semblait impossible d'aller plus loin. Ils y ont construit leur maison, leur potager, ont été obligés de se battre contre les arbres, la fièvre des marais, ont perdu des enfants, planté des pommiers. Pour que leur installation soit entérinée dans les faits, leur verger doit compter au moins cinquante pieds. James met beaucoup d'énergie, et de doigté, dans la culture de ses pommiers. Sadie, elle, a sombré dans l'alcoolisme, ne se résignant pas à leur vie, à la perte de ses enfants, à ce qu'elle est devenue. Les aînés, Robert et Martha, portent un regard froid et résigné sur leurs parents. La famille a de temps en temps, la visite de John Chapman, qui leur vend des plants et circule en canoë. Le drame qui survient un jour était prévisible. Il séparera les frères et soeurs. Robert prendra la route de l'Ouest, et exercera beaucoup de métiers avant de lui aussi être pris par la passion des arbres...

Ce roman a été dès ses premières pages une pause dépaysante parmi mes lectures précédentes. Cela vient de son ton, un peu désuet sans doute, de son écriture relativement classique, et puis aussi de son atmosphère particulière, à la fois rude et apaisante, qui raconte la vie difficile et le courage des pionniers. Au début du récit de Tracy Chevalier, il est beaucoup question de pommes et de pommiers, et de tout ce qu'il faut faire pour les greffer, les entretenir et les faire fructifier. La guerre entre les époux Goodenough est à la fois violente et fascinante. Puis, dans la seconde partie du texte, qui semble au départ constituer de manière assez désarçonnante un nouveau récit, il est surtout question de botanique, et de tout ce qui a existé réellement comme commerce de graines et de plants partant des Etats-Unis vers l'Angleterre. Nous suivons alors plus particulièrement un Robert taiseux et circonspect. Tout cela m'a rappelé des lectures adolescentes et romanesques très appréciées, et m'a passionné, malgré le déséquilibre évident du texte et un parti pris narratif un peu déroutant (lettres insérées et ellipse de dix-huit ans en plein milieu du roman). Une lecture, de mon point de vue, captivante.

Editions Quai Voltaire - 22.50€ - Mai 2016

Un roman profond, implacable, délicat, et quand même parfois aussi, un peu déstabilisant pour le blog blablablamia - Clara est passée à côté - Gwenaelle a aussi l'impression d'être restée en dehors - Keisha a beaucoup appris mais a trouvé ça parfois un peu longuet et a été gênée par la première partie et le conflit entre les époux Goodenough - Le billet très complet de Papillon qui n'a pas été tellement emballée...

POMMES

(pommier de mon jardin)

22 juin 2016

Comme neige, Colombe Boncenne

commeneige

 "Je frissonnai en refermant le livre puis respirai profondément et me concentrai sur les liens possibles entre cette Poursuite et la mienne, à savoir, pour l'heure, celle de Neige noire."

Constantin découvre par hasard en fouillant dans un carton dans une maison de la presse de Crux-la-ville un roman inédit de son auteur fétiche, Emilien Petit. Le titre ne lui dit rien, il le dévore en une nuit puis de retour à Paris, se dit que ce sera un bon moyen de reprendre contact avec Hélène, sa maîtresse, avec laquelle il a en commun cette admiration pour l'écrivain. Cependant, alors qu'il souhaite partager sa trouvaille, impossible de remettre la main sur l'ouvrage, ni d'en retrouver la moindre trace sur internet, ou dans le catalogue de l'éditeur. Il cherche alors dans les autres titres de l'auteur, des traces de ce livre, puisque tous les romans d'Emilien Petit se font écho les uns aux autres, puis il poursuit son enquête en prenant contact avec l'auteur, ses amis... sans se douter jusqu'où cette quête va bien pouvoir le mener.

Je me suis sentie très à l'aise avec l'écriture et l'univers créé par Colombe Boncenne. Et même si l'aventure de Constatin Caillaud a de quoi déconcerter, j'ai aimé ce livre, et le trouble qu'il génère et conserve jusqu'à la fin. Cette enquête littéraire est en effet très séduisante, elle permet de passer du temps entre les pages des livres, de courir librairies et maisons d'édition et de se poser des questions légitimes sur la notion d'auteur, par exemple. Le personnage de Suzanne, l'épouse de Constantin, navigue en périphérie de tout cela, et de l'égoïsme assez prononcé de son mari, elle donne du réel à son aventure éthérée. J'ai aimé aussi qu'apparaissent de véritables personnes du monde de l'édition, et des médias, dans ce livre, acte audacieux et enrichissant. Voici un premier roman très réussi et très maîtrisé, qui promet pour la suite de l'oeuvre de Colombe Boncenne, un agréable moment de lecture.

Editions Buchet Chastel - 11 € - Janvier 2016

Lu dans le cadre du challenge des premiers romans...

68premieresfois

Un premier roman prenant et étonnant sur le blog Des jardins d'Hélène - Original et plein de malice pour Joelle - Malicieux et plein d'amour pour la littéraire sur le blog Mots pour motsC’est décalé, drôle, foutraque, malicieux, un poil facétieux, amusant... pour le petit carré jaune - Un certain amusement chez Arthémiss - Une très belle lecture, passionnante, intrigante, et amusante aussi pour Martine - Domi aurait peut-être abandonné ce livre sans l'aventure des 68 - Une belle réussite pour ce premier roman pour Ludivine - Bel hommage à la littérature mais Marie-Laure n'a pas accroché à l'intrigue trop tortueuse - Noukette s'est régalée - Un vrai coup de coeur pour Nathalie ! - Excitant pour Virginie - Un joli suspens pour HC Dahlem - Un roman à lire au second degré sur le blog de Tout ce qui se lit - Une belle découverte et un début très prometteur pour Mon petit chapitre - Une impression d'inaboutissement pour Merlieux Lenchanteur - Réjouissant pour Amélie ! - Laborieux pour Natacha - Une déception pour Saxaoul !! - Stephie a été un peu frustrée par la fin...

20 juin 2016

Le pont des aventures de mon enfance

... et un peu plus loin ce joli lieu, La maison de la rivière et du pêcheur à Saint Georges de Montaigu (85). Tout l'été, exposition de photographies Land Art, petits ateliers et promenades en barques [clic ici pour plus de détails].

Pictures15

Sinon, pendant ce temps, je lis Comme neige de Colombe Boncenne, et je me sens bien dans ce livre... Un billet bientôt ! 

Publicité
19 juin 2016

(Presque) jeune (presque) jolie (de nouveau) célibataire, Stéphanie Pélerin

presquejeunepresquejolie "Un classique du genre, ma chérie. Un épisode comme on en trouve dans toutes les romances..."

Ivana se fait larguer du jour au lendemain par Baptiste, après huit ans d'une histoire d'amour que l'on pourrait qualifier de sérieuse. Elle se retrouve donc abruptement, la trentaine passée, et quelques kilos de trop, sur le marché des célibataires. De plus, elle doit se séparer de leur appartement, et la fin de l'année approche. Ivana est professeur de français. Elle tente donc de ne pas se laisser abattre et prend sa vie en main. Elle s'inscrit dans une salle de sport, à des séances de Weight Watchers, et sur le site "Be my boy". Des rencontres ont lieu, plus ou moins intéressantes. Malgré ses désirs de sensualité, Ivana se lasse vite des hommes narcissiques, décevants ou de ces rendez-vous d'un soir qui n'apportent rien de plus. Heureusement, il y a les copines, les fous rires et les confidences qu'elles échangent autour d'un verre, et peut-être cet inconnu contre lequel elle a buté en sortant des toilettes tout à l'heure...

C'est une émotion particulière de lire le premier roman d'une blogueuse avec laquelle on partage depuis longtemps les pages de la blogosphère littéraire et puis également l'atelier d'écriture du lundi de Leiloona. On se dit qu'elle a eu le cran et l'audace dont on manque un peu, et puis on reste bluffée de cette facilité apparente dans l'écriture du texte. Je ne lis pas forcément beaucoup de chick litt, comme on l'appelle communément, je ne suis pas forcément la lectrice cible... mais j'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce roman, qui me semble très adapté pour une lecture de plage, ou de transat avec boisson associée, d'été... Personnellement, j'ai aimé que le récit de Stéphanie reste très ancré dans le réel, c'est un livre qui lui ressemble. J'y ai retrouvé ses frasques, et sa personnalité généreuse et battante, sensible aussi, son univers. J'ai beaucoup souri, ai presque eu envie de devenir professeur de français, de relire Zola et d'aller acheter mon pain le matin sans me laver les dents, signe d'empathie réelle avec le personnage d'Ivana. Je souhaite un merveilleux succès à ce roman !

Editions Mazarine - 15 € - 15 juin 2016

Jérome a aimé qu'y soit dressé le portrait d'un homme réaliste Gros coup de coeur pour Fanny - A égaillé Laurie !!

18 juin 2016

Samedi

... quand tu te rends compte que c'est la journée mondiale du tricot aujourd'hui [clic], rien que ça. J'avance tout doucement dans mon petit pull sans manches cela dit. 

tricot1

J'en profite aussi pour vous remercier tous pour vos gentils messages sous les quelques confidences que je dépose ici depuis quelques semaines, et sur facebook aussi... Ils m'apportent beaucoup, me permettent d'avancer. Vous êtes formidables (mais ça je le savais déjà). Je vous embrasse. Ne vous inquiétez pas, ce blog va surtout continuer à vous parler lectures, c'est son principal objet... ;)
Bon week-end !

17 juin 2016

Libérez-vous de la pression au travail, Michelle Jean-Baptiste

libérez

"C'est parce qu'il y a moins d'un an, quelqu'un en qui j'avais toute confiance a cherché à me discréditer, à dévaloriser violemment mon travail par peur sans doute de perdre de son autorité ou de sa superbe, et que je ne me suis pas laissée faire ; c'est parce que j'assistais autour de moi au désarroi de nombre de salariés et d'indépendants précaires tétanisés ou liquéfiés face à des managers brutaux, à des décisions arbitraires et inhumaines, et à l'injustice du harcèlement banalisé que j'ai écris ce livre.

Tant que nous sommes en vie, nous avons la possibilité d'agir et donc de faire bouger les lignes. Le travail est un élément essentiel pour que nous ayons une vie équilibrée, mais à condition que nous n'en soyons ni les esclaves ni les souffre-douleurs et qu'il ne nous empêche pas tout simplement de vivre."

J'ai accepté de recevoir ce petit livre d'un jaune éclatant car parmi toutes les sollicitations que je reçois, quelque chose m'interpellait dans son intention, et qu'il tombait bien. Je ressens parfois un peu de pression au quotidien. Et puis, je l'ai lu, et loin du guide tout bête qu'il semble être, j'ai été touchée par la bienveillance de son contenu, la justesse des propos de Michelle Jean-Baptiste, sa juste sensibilité, son désir d'aider. Sa table des matières résume parfaitement ses grandes lignes... Non le travail ne doit pas forcément être une torture, je prends conscience du niveau de pression, j'agis sur la pression qui vient de moi, j'agis sur la pression qui vient des autres, j'intègre que le harcèlement n'est pas une pression comme une autre, je décide de devenir acteur de ma vie professionnelle, je n'hésite pas à me faire aider...

C'est parce qu'il y a plus d'un an, quelqu'un dont je ne me méfiais pas particulièrement (ou pas assez) a cherché à me discréditer, et que j'ai ressenti cela avec une violence inouïe, que je me suis laissée faire avant que l'on m'aide à m'en sortir, que j'ai lu ce livre avec émotion. J'en profite d'ailleurs pour remercier ici les personnes qui ont su, à l'époque où je me noyais, voir, trouver les mots, et surtout me dire "Tu n'es pas seule, moi aussi j'ai vécu ce que tu vis, je comprends" et puis "Nous nous te croyons, nous savons qui tu es".
L'année dernière, à la même époque, en juin, je n'allais pas très bien, j'ai pris une très longue pause ici, à cause de cet état de fait qui persistait. Aujourd'hui, tout va mieux, mais ces moments laissent des traces indélébiles dont on se passerait bien, je vous l'assure. Je sais depuis que la peur et l'angoisse seront toujours là en embuscade, qu'elles sont inscrites en moi au fer rouge, qu'un rien peut les réveiller de leur sommeil, qu'il faut vivre à présent avec. Je sais aussi qu'il ne faut pas se taire, même si autour de soi tout le monde tente de minimiser, et que la méditation (par exemple), accepter sa sensibilité, aident beaucoup aussi. Qu'il faut tenter de s'aimer encore plus fort, si on y arrive. Ce que je suis, dont vous devinez certainement la somme des émotions, est sans doute une richesse mais me désigne apparemment aussi comme une victime naturelle... j'en suis ravie (ironie). 

Voici quelques phrases du livre qui me parlent...  - La volonté de rabaisser ou d'isoler la victime - La remise en question de tout ce qu'elle dit ou fait - L'utilisation de la calomnie et des mensonges - Le fait de ne plus adresser la parole à la victime et de le priver de toute possibilité de s'exprimer - Le fait de culpabiliser la victime pour qu'elle finisse par croire qu'elle mérite ce qui lui arrive...

Je remercie Michelle Jean-Baptiste pour son livre qui conserve tout du long un optimisme joyeux, milite surtout pour le bien être au travail et nous encourage à être acteur de nos vies. Elle a tellement raison.

Editions Fortuna - 7.90€ - 11 avril 2016

16 juin 2016

Rehab

Cocoon et Julien Doré... mon trio idéal

15 juin 2016

Le Monde entier, François Bugeon

lemondeentier

"La fille mangeait un quignon de pain, finalement."

Lorsque Chevalier rentre ce jour-là de l'usine en Mobylette, il découvre une voiture accidentée au bord de la route. Il fait noir, trois personnes sont à l'intérieur. N'écoutant que son courage, il les sort une à une, deux femmes et un homme, avant que la voiture ne flambe. Dans l'aventure, il se fait très mal à l'épaule et au crâne, mais le célibataire endurci du village a la satisfaction du devoir accompli. Il est seulement un peu chagriné quand on lui raconte qu'il n'y avait qu'une femme sur les lieux de l'accident, et que sa Mobylette, sa veste et ses papiers ont disparu. Chevalier a bonne réputation dans le village, on le sait amoureux secrètement de l'infirmière Claudie, des rituels se sont instaurés entre lui et quelques amis, le voisinage. La découverte d'une jeune fille, noire et mutique, à l'endroit où a été retrouvée finalement sa Mobylette deux jours plus tard, son installation provisoire dans sa maison, vont pour autant fondamentalement changer sa vie... et attirer la curiosité du village.

Voici un petit roman sans grands effets que j'ai beaucoup aimé. J'ai hésité à l'ajouter à ma liste des coups de coeur mais il s'en est fallu de peu, sans doute un peu trop de langueur ressentie avant le bouquet final. Cependant, Le monde entier est un très bon roman, délicatement écrit, qui aime ses personnages, une véritable bonne surprise de ce printemps. J'ai apprécié sa galerie de personnages, le fait que chacun sache avouer ses failles autour d'une bottes de haricots à équeuter, dans le silence d'une chambre d'hôpital, ou l'habitacle d'une voiture la nuit, que personne ne soit parfait dans cette histoire, mais un peu lâche, un peu fautif, un peu à côté. En fin d'ouvrage, le coeur est bouleversé, et l'esprit comprend qu'il faut sans cesse se méfier des apparences. Où avions nous donc la tête ? Un livre dont je conseille vivement la lecture, à tous les amoureux des taiseux, des âmes solitaires et des secondes chances.

Editions Le Rouergue - 17.80€ - Mars 2016

Un roman lu dans le cadre du challenge des premiers romans...

68premieresfois

Un roman plein de finesse et de tendresse pour Adèle - Lumineux pour Merlieux Lenchanteur - Un coup de coeur pour Enell Liraconteuse - Un régal pour Geneviève ! - Un livre bon qui fait du bien pour Christiane - Un très bon roman qui pourrait devenir le chouchou des 68 premières fois pour Nathalie !! [son billet ici]

Publicité
1 2 > >>
Les lectures d'Antigone ...
Publicité
Les lectures d'Antigone ...
  • "Tu vois, moi, j'ai des passions, les livres, ça me sauve... J'ai traversé mes temps morts avec des gens qui ont oeuvré pour ça, ceux qui ont écrit... J'ai le livre en main et c'est du carburant pour ma vie à moi..." Jeanne Benameur
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Visiteurs
Depuis la création 694 804
Derniers commentaires
Publicité