Quand je me perds

Que le doute est là, la fragilité,

A chaque seconde je sais
Pouvoir revenir à celle que je suis

Il suffit d'un frôlement de paumes
Il suffit d'un rayon de soleil sur mes bras
Il suffit que tu me regardes

© Les écrits d'Antigone - 2014

Comments

[Nicole Giroud]

La photo apparaît, et la subtile harmonie de verts et de gris, et la solitude, et la fragilité associée au poème, merci Antigone.

[aifelle1]

La photo ne s'affiche pas chez moi .. C'est court, mais joliment dit :-)

[1984]

Très beau et délicat, cela procure un sentiment de consolation de bien des choses, bravo !

[danielle]

Etes-vous sûre de n'exister que dans le regard de l'autre (l'être aimé)?

Ce sont les impressions que me laissent vos vers.

Belle journée.

danielle

[tristale]

joli !