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Les lectures d'Antigone ...
Ardoise magique

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Ben oui, à mon tour, j'ai craqué !

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30 septembre 2009

Cécile Mainardi

livremer"Je suis le capitaine qui sombre avec le livre qu'il écrit. J'écris le livre dont je suis le capitaine à y sombrer avec. Je suis le capitaine d'un livre écrit pour sombrer. Je suis sombre, vous le savez, et j'ai une âme de capitaine. Je sombre avec le livre que j'écris pour en être vraiment le capitaine. A en être éxagérément le capitaine, on peut faire sombrer un livre. Je suis le livre que le capitaine fait sombrer droit dans son axe de capitaine debout (car un livre sans capitaine ne sombre pas, ne peut pas sombrer). Je suis capitaine hélas, et j'ai fait sombrer tous les livres. J'écris sombrement un livre sur le capitaine que je suis, et l'eau commence à le recouvrir. J'écris un livre sur ta blondeur."

Extrait de La blondeur, poème lui-même extrait de Poé/tri "40 voix de poésie contemporaine" chez Autrement, 2001

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28 septembre 2009

La Petite Fille du Bois Caïman (T6) ~ Bourgeon..."Les Passagers du vent" - BD

bourgeonC'est avec joie que j'ai appris il y a quelques mois le retour des Passagers du vent avec l'annonce de la parution en septembre 2009 d'un sixième tome, que voici.
J'ai une histoire particulière avec cette série. Comme le personnage d'Antigone, Isa et ses compagnons font partie intégrante de ma vie. Avec eux, j'ai rêvé adolescente de devenir moi aussi rebelle  - et dessinatrice de BD. (;o)
J'ai beaucoup admiré le travail de Bourgeon à l'époque, sa manière originale de mettre en scène les vignettes, son trait. Et j'aime toujours particulièrement sa vision de la femme, sensuelle, forte et intelligente, charismatique.

Dans cet opus là, nous sommes en Louisiane en 1862, en pleine guerre de secession. Zabo Murrait, la petite-fille Bois-Caïman, est contrainte de quitter la résidence Murrait pour rejoindre son frère à Lananette.
Y vit également une vieille femme centenaire qui se nomme comme elle, Isabeau, et qui va lui conter son histoire...

Mon avis ? Les planches de cet album sont superbes, les dessins d'une perfection, et d'une grâce, certaine. J'ai retrouvé avec bonheur l'espièglerie et le talent de conteur de Bourgeon. Cela dit, voilà, je suis un peu déçue... L'intrigue m'a semblé se traîner un peu, les bulles sont parfois trop bavardes, et avant que de retrouver Isa en fin d'ouvrage (la femme centenaire, c'est elle !), l'ennui était embusqué derrière chaque page. Ce qui est un peu dommage. Mais peut-être en attendais-je de trop ? Le Livre 2 de cette sous-série, à paraître en janvier 2010, me permettra sans doute de m'en faire une véritable opinion. Et je ne me priverai certainement pas de l'acheter... tout de même !

ISBN 978 2 35648 066 8 - 15€ - SEPT2009

Bois_41   Bois_30   bois1

Pour info, les anciens tomes des Passagers du vent ont tous été réédités chez un nouvel éditeur (12 bis), avec en prime, de nouvelles couvertures !!

L'auteur nous parle de son travail ici, et encore ici.

27 septembre 2009

Offrande

offrande1Je t’offre mes rides.
En voudras-tu ?
Celle surtout, verticale et épaisse, qui barre mon front, et qui me donne l’air sérieuse et sévère. Je sais sa raison d’être. Je l’aime.
Elle est une frontière irréelle entre moi et hier, indélébile.

Je t’offre mon crépuscule à venir, des promesses, et mes pulls en cachemire.
Deux bras, autour de ton cou, tous les jours, pour mieux t’embrasser.
Ou te tenir chaud.
Jamais te contraindre.

.

Je t’offre tendresse et doutes, emmêlés, noués.
Ces ombres qui voilent trop souvent le ciel de mes instants.
Ils te serviront de parapluie, de paratonnerre, d’arme ou de bouclier. C’est selon.

A toi l’usage. Pas la peur.

.

Je t’offre ce que je n’ai pas, ou plus, ou jamais eu.
Mes vides.

Tout ce que tu pourras combler de tes rêves, de tes envies, de tes projets.

Pas certaine d’être tout à fait terminée. Complète. Entière. Heureuse.

Pas certaine d’être - toujours - tout court.

.

Je t’offre mes joies, et les rires inutiles qui naissent dans ma gorge.
Le soleil dans ma maison, son désordre chaud.

Mes couleurs.
Le rouge de mes joues.

.

Et tous ces creux où nous pourrons nous abriter ensemble,

Longtemps.

.

.

© Les écrits d'Antigone - 2009

Une petite réflexion sur le temps qui passe...;o), inspirée par une lecture de Florinette.
De plus, je commence à être très très fâchée par ces photos retouchées, vues sur les publicités de ELLE ou autres, qui ne ressemblent plus à rien. On nous fait croire que les actrices n'ont plus de rides (pfff on les a pourtant vues ailleurs) et les visages sont tellement lissés et transformés qu'ils finissent par faire presque peur en plus d'être franchement laids, vous ne trouvez pas ?
De grâce, montrez-nous de belles rides !

Un petit ajout, comme ça, une publicité lissée qui m'exaspère...pour l'exemple.


Uma Thurman - Ange ou Démon - Le secret de Givenchy
envoyé par Angelmugler. - Regardez plus de courts métrages.

25 septembre 2009

Ce que je sais de Vera Candida, Véronique Ovaldé (Rentrée littéraire 2009)

cequejesaisdeveracandida"[...] N'oublie jamais ta colère. Et si la colère s'effaçait en faveur d'un sentiment plus confus et plus paralysant comme la culpabilité alors il fallait la réactiver, et quel meilleur moyen que de se planter devant le miroir de la chambre, soulever son maillot et compter les traces laissées par le si grand amour mal exprimé de Violette Bustamente. Dans ces moments-là Vera Candida se collait au miroir pour sentir la fraîcheur d'hiver sur sa peau puis elle soufflait pour créer de la buée et dessiner sur la surface si lisse des formes rondes, des spirales et des volutes. Elle remontait ses cheveux et touchait la balafre blanche et soyeuse qu'elle avait sous l'oreille puis elle remettait sa chevelure en place.
Ces cicatrices là, mon sucre, sont des étendards, disait grand-mère Rose. Au fond c'est un avantage toutes ces coutures bien visibles. Quand le mal qui t'est fait est seulement à l'intérieur (mais sache, ma princesse, qu'il peut être aussi taraudant et violent que des coups de poing), alors ne pas perdre de vue ta colère et ta juste rage demande un bien plus gros effort."

Ce que je sais de Vera Candida est l'histoire d'une lignée de femmes.
En tout premier, il y a Rose, la grand-mère, ancienne prostituée, devenue experte en poissons volants, puis maîtresse de Jéronimo (inquiétant personnage oscillant entre l'iguane, le jetsetteur et le caïd) . Ensuite, il y a Violette, la fille de Rose, un peu spéciale, pas finie et bonne à rien, juste à courir les garçons et à donner naissance à une enfant, la troisième femme de ce roman, la seule à espérer enfin briser le destin qui semble planer sur leurs destinées à toutes, elle se nomme Vera Candida. En effet, cette dernière a l'impulsion juste de fuir l'île de Vatapuna, à quatorze ans, enceinte, lourde d'un secret inavouable. Elle atteint Lahomeria, livrée à elle-même puis recueillie dans un foyer alors qu'elle accouche de la quatrième fille du récit, Monica.
L'amour, comme bien souvent, sonnera le carillon de l'espoir, en la personne d'un journaliste obstiné et combattif, doux, Itxaga, amoureux fou de Vera Candida...

Encore une fois (ayant j'ai déjà lu Et mon coeur transparent et Toutes choses scintillant), me voici sous le charme de la manière bien personnelle de Véronique Ovaldé de mener un récit ! Nous sommes ici dans une amérique du sud imaginaire où le réalisme frôle sans cesse le légendaire et le féérique, et tout cela est terriblement bien fait, et maîtrisé, et passionnant.
Difficile pour moi de ne pas aimer non plus la délicatesse avec laquelle elle parle des femmes, de leurs corps, de leurs impulsions, de leurs doutes et de leurs choix, parfois maladroits, souvent tragiques. Ces personnages là me semblent toujours si familiers. Ils me donnent des envies de protection et de justice, d'abandon aux sentiments vrais.

J'ai donc aimé cette lecture, vraiment. Et pourtant, je n'arrive pas à comprendre pourquoi il m'est impossible cette troisième fois encore, d'assigner un "petit coeur" à mon billet.
Il s'agit là simplement, sans doute, d'écriture et de distance, de ce fossé qui se creuse entre nous, étrangement, au fil des pages. Rien de grave, juste un sentiment d'éloignement qui me laisse moi, admirative, mais un peu sur le côté, tenue à l'écart, distanciée.
Voilà un effet bien mystérieux... ;o) 

bouton3 Note de lecture : 4.5/5

ISBN 978 2 87929 679 1 - 19€ - AOUT2009

Elles l'ont lu aussi : Amanda - Cuné - Jules - Albertine ...qui d'autre ?

Ce roman est en lice pour le 22ème Prix Goncourt des Lycéens parmi 14 titres.

Défi 1% littéraire 2009 : 6/7

22 septembre 2009

C'est l'automne !

Et pour le commencer en beauté, sans friser le nez vers le ciel gris au dehors, les chaises de jardin à rentrer pour l'hiver et les sandalettes à remiser, ci-dessous un dessin de Marie Desbons...
intitulé Soupe d'automne :

l_automne

Les dessins de Marie Desbons sont édités, entre autres, chez La Marelle mais vous pouvez la suivre aussi sur son blog, Mon grain d'selhttp://mariedesbons.canalblog.com/.
C'est frais, serein, un peu fouillis et gai, j'aime bien.

(Un petit parfum d'enfance sur ce blog, en ce moment...je sais.)

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21 septembre 2009

La Planète des Alphas

laplan_tedesalphasVoici un album (idéal pour petit dernier, 4 ans), qui n'est pas réellement un livre comme les autres. Il a pour but de favoriser chez l'enfant le "déclic lecture".
Il contient un conte dans lequel les personnages sont des lettres (le peuple des alphas), et ces lettres ont la particularité d'émettre des sons correspondants à leur nature : la fusée fait "fffff", mademoiselle i fait "hihihi", monsieur o fait "ohohoh" et monsieur a "ahahah".

La méthode de base - puisqu'il s'agit vous l'aurez compris d'une méthode de lecture - est constituée d'un livre, d'un poster reprenant l'alphabet via les personnages de l'histoire et d'un CD indispensable à la compréhension du récit, car les images ne sont pas légendées.

Je craque généralement sur tout ce qui ressemble de près ou de loin à un abécédaire, mais je n'avais aucune idée de la réaction de mon fils à cet ouvrage. Je connaissais seulement son intérêt pour l'écriture depuis son entrée en Moyenne section. Je ne m'attendais pourtant pas à ce qu'il soit aussi emballé.
Il a très vite compris le principe, et l'histoire. Il a voulu écouter le CD deux fois dans la même journée, et a passé beaucoup de temps à parler des personnages, et ce à toute la famille... Ce livre est en passe de devenir son livre doudou préféré.blackfrm

J'ai apprécié également de le voir suivre avec les doigts la courbure des lettres, comme si il les écrivait. Cet album aurait-il donc des pouvoirs magiques ?

Nous en sommes tout de même qu'aux balbutiements car l'ouvrage contient des exercices et des approfondissements que nous allons avec plaisir étudier ensemble par la suite.

Pour avoir une petite idée du conte, vous pouvez visionner une vidéo en cliquant sur le lien ci-contre : http://www.dailymotion.com/video/x8jzof_le-dessin-anime-la-planete-des-alph_creation qui reprend les premières minutes du dessin-animé...
L'histoire ?
"Olibrius s'ennuie, seul dans sa chambre. Soudain, un personnage étrange apparaît devant lui. Il se nomme Cosmopolux. Il lui propose de le suivre pour un voyage vers la planète Alpha, tout en souhaitant éviter les désagréments de la planète des Bêtas, toute proche, aux mains de l'horrible sorcière Furiosa... "

ISBN 978 2 35366 056 8 - 19.90€ - 2008

Toutes les autres infos sont sur http://www.planete-alphas.net/.
Un grand merci à Marjorie de l'association "Le droit de lire" ! Cette rencontre livresque est un vrai succès !

19 septembre 2009

Les vampires de Londres (T1), Fabrice Colin

LESVAMPIRESDELONDRES"A la seconde où Amber ouvrit les yeux, elle ne vit d'abord que les ténèbres. Elle était allongée quelque part et elle ne savait pas où.
Elle voulut se relever, se cogna la tête, étendit les bras. Alors, une terreur sans nom déferla sur elle.
Elle ne se trouvait pas dans un lit.
Elle était prisonnière."

Grâce à Lily et à Gallimard, me voici aujourd'hui en pleine incursion dans l'univers dépaysant des éditions de jeunesse, et également dans celui non moins dépaysant des vampires.
Comme vous vous en doutez sans doute, je n'ai guère l'habitude de lire ce type de romans mais la curiosité ayant été la plus forte, je me suis plongée avec entrain dans ce premier tome d'une série qui - je peux le dire - promet.

Comment, effectivement, ne pas succomber au charme d'une écriture qui utilise des expressions telles que "darda sur elle un regard amusé" ou des termes tels qu'"artefact" ? Impossible. Ils n'avaient pas croisé ma route depuis bien longtemps.
Comment ne pas succomber aussi à un récit où se croisent Sherlock Holmes, Watson, Jack l'Eventreur, Abraham Stocker, le Comte Dracula et le frogg londonien ? Compliqué.lesvampiresdelondres1

Cette lecture a été pour moi, outre un plaisir inattendu, le moyen de faire pour quelques heures un voyage-retour vers l'adolescence plutôt agréable. De plus, j'ai apprécié l'esthétisme du livre, joliment illustré. De quoi regretter de ne plus avoir douze ans...pour le coup.

L'histoire ? Nous sommes à Londres, en 1888 et Jack l'Eventreur sévit dans les quartiers mal fâmés de la ville. Les soeur Wilcox se réveillent, enfermées dans des cercueils, à priori enterrées vivantes dans un des cimetières abandonnés de la capitale. Réussissant à se dégager miraculeusement de ce piège, elles se découvrent orphelines, sans abris et sous la tutelle amicale d'un détective musicien, Sherlock Holmes. Elles apprennent alors qu'elles ne sont plus des jeunes filles comme les autres et que l'Empire britannique a à présent grand besoin d'elles et de leurs nouveaux pouvoirs.

ISBN 978 2 07 062593 2 - 13.50€ - AOUT2009

Clarabel dit bravo - Cathulu un peu moins - Une lecture plaisante pour Emmyne -

Le blog de fabrice Colin - Cuné est citée dans les remerciements...

   

18 septembre 2009

Une fenêtre où se pencher

fen_tre1Je ne crois plus aux naufrages,
Il y a un masque bleu au fonds de tous les puits ;
Les porteuses de pain se succèdent,
Les vies se souviennent d'autres vies.

Il restera toujours une fenêtre où se pencher,
Des promesses à tenir,
Un arbre où prendre appui.

Quelque part existe le visage de notre terre.
Qui nous dira son nom ?

ANDREE CHEDID
(Seul le visage, 1960)

16 septembre 2009

Assez parlé d'amour, Hervé Le Tellier (Rentrée littéraire 2009)

assez_parl__d_amour"Que celle - ou celui - qui ne veut pas - ou plus - entendre parler d'amour repose ce livre."

Anna et Louise sont deux femmes mariées, apparemment heureuses, qui ne se connaissent pas, mais qui vont vivre, à quarante ans et en simultané, la naissance d'un nouvel amour, tout neuf. Un amour bouleversant et régénérant. Leurs destins vont se croiser sans jamais se toucher, les sentiments envers leurs amants se développer en douceur, sans drame, comme une évidence.
La première rencontre Yves, écrivain. La seconde, Thomas, psychanalyste.

Près d'elles, les maris savent mais ne disent rien ; les enfants voient et acceptent, à peine inquiets.
Anna et Louise n'ont plus qu'à sonder en elles leurs désirs profonds pour guider leurs pas vers un avenir indécis mais amoureux.


Voilà une histoire, découpée en très courts chapitres, dans laquelle j'ai eu du mal à m'immerger totalement dans sa toute première moitié. Sans doute une indisponibilité d'esprit passagère, car le charme du récit a finalement réussi à me séduire. En effet, la banalité de l'adultère dépassé, nous plongeons dans une douceur de sentiments assez délectable, une description de l'état amoureux assez précise et jubilatoire.
J
'ai refermé ce livre, complètement enthousiasmée par ma lecture !

Par ailleurs, Hervé Le Tellier, l'auteur, est membre de l'Oulipo. J'ai donc cherché naturellement dans son roman une clé à comprendre, un code. Yves, l'écrivain de l'histoire, semble en donner un indice page 189 : « Yves veut écrire un roman à six personnages. Il associera chacun d’entre eux aux numéros des dominos, le zéro valant pour un personnage secondaire, jamais le même. Le roman reproduira le déroulement d’une partie de dominos abkhazes… », et l’on se prend à penser que l’on est sans doute en train de le lire ce fameux roman, pour lequel Anna suggère qu’Yves mette « amour » dans le titre ...

Mais ne rien savoir d'un éventuel stratagème préexistant, ne rien deviner de l’attribution des rôles, ne gêne en rien cette lecture, qui restera certainement pour moi un bien joli souvenir.

« Mentalement, Louise a d’abord rempli des listes, aligné des colonnes. Elle a construit un quadrillage aussi rationnel que les blocks d’une ville américaine. Une colonne Pour quitter Romain. Une colonne Contre. « Je t’aime encore », dans la colonne Pour. Ou plutôt, elle aime encore l’avoir aimé, c’est comme l’arrière-goût sucré d’un café. « Je ne t’aime plus », dans la colonne Contre. Ou plutôt, elle ne l’aime plus comme il faudrait qu’elle l’aime pour continuer à l’aimer. »

bouton3 Note de lecture : 4,5/5

ISBN 978 2 7096 3342 0 - 17€ - AOUT 2009

« Ce blog a décidé de s'associer à un projet ambitieux : chroniquer l'ensemble des romans de la rentrée littéraire ! "
Merci à Ulike et au site

            chronique_de_la_rentree_litteraire

Hervé Le Tellier sera présent en mai 2010 au Grand R (La Roche sur Yon) pour un stage d'écriture

La lecture de Cathulu - Et celle de Cuné...toutes les deux sont enchantées !!

Défi 1% littéraire 2009 : 5/7

14 septembre 2009

Suivre le fil...

...  48_00249_00150_001  ...un concept de Muriel Decaillet à filer ici. Le principe ? Une photo par jour, un fil rouge qui semble glisser d'un espace à un autre...une sorte de grâce, un peu étrange...fascinante. Vous aimez ? Moi, si, beaucoup.

Un lien découvert chez IDTextile.

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Les lectures d'Antigone ...
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  • "Tu vois, moi, j'ai des passions, les livres, ça me sauve... J'ai traversé mes temps morts avec des gens qui ont oeuvré pour ça, ceux qui ont écrit... J'ai le livre en main et c'est du carburant pour ma vie à moi..." Jeanne Benameur
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